Belle parole, le meilleur exemple de la communication politique après « Je n’ai fait qu’un mensonge comme tous les hommes. » de Bill Clinton. Son talent face au média est vachement confirmé. Même il a dit qu’il voulait se reposer, Son retour au théâtre politique français est déjà incontournable à la fin de l’intervention du TF1.

 Les Français avaient raison de le mettre à la première place du sondage des élections présidentielles 2012 avant l’histoire de New York. Cependant ils ont beau faire confiance en ce coureur, comme il a aussi dit « J’ai manqué mon rendez-vous avec les français ». En revanche, au point de vue d’ailleurs, ce n’est pas une bonne nouvelle pour la France et les français ? « Je le paie toujours » a-dit-il si regrettablement. Mais, non, ce n’est pas seulement lui qui a payé, malgré son mandat du FMI, il est une personnage française, la France et les français ont aussi payé. S’il était au même cas en tant que le Président de la République Française, le coût serait hors de prix.

 

Un bon moment de l’intervention choisi, la crise est en train de aggravée, les français ont perdu la confiance en les dirigeant au pouvoir y compris Sarkozy, le Président actuel, et les candidats au primaire non plus. Quand les français s’enfoncent au bourbier financier, psychologiquement, celui qui n’a pas encore proposé le plan sera bien entendu, d’autant plus qu’il avait une bonne couronne de laurier du FMI.

 

DSK comprend très bien l’envie des français, deux attitudes complètements différentes entre 1ere part et le deuxième de l’intervention. Concernant l’affaire sexuel, peut-être les français ne veulent qu’une prétexte de le pardonner. Donc, il a l’air honteux et naïf, aucune fierté. Le voix si douce et si lente comme s’il était un garçon ayant fait des bétises. En revanche, dés que le sujet est détourné à l’économie, le deuxième part de l’invervention, ce garçon est soudain devenu un vrai président avec une figure épanouie et déterminée.

 

Bien joué, ce favori médiatique.

 

« On verra » a-dit-il sur son avenir de la vie. Prend-il vraiment du recul avec la vie politique ? Ce n’est pas une stratégie « reculer pour mieux sauter » (un proverbe chinois)

 

Si la gauche gagne en 2012, si l’économie est encore effroyable, le scénario sera véritablement intéressant.

 

On verra.

 
Retour à l'accueil