La TVA sociale, une mesure symbolique du manque de la stratégie pour la coissance économique française.
Apparemment, chaque camp a raison, qu'ils soient contre ou pour. C’est inutile de répéter le démagogie.
Cependant, il semble que l’on oublie le point le plus important :
Qu’est-ce qui est la vraie cause du recul de la compétitivité des entreprises françaises ? Est-ce que c’est vraiment le coût de production ?
Ma réponse est NON, parce que la vraie cause est le manque de l’ambition face à la compétition mondiale. Si l’on demande aux patrons pourquoi la situation de l’exportation française à l’étranger est dure, la majorité vous énumérera les raisons déçues : Difficulté culturelle, Insuffisante connaissance du marché, coûts dus à la barrière géographique, etc. Cependant, ce n’est pas le même cas pour tous les exportateurs dans le monde entier ? Les défis extérieurs ne sont pas de raison de se cacher chez soi, mais sont les processus inévitables vers le grand profit, même le prix. On profite de la vie typique française depuis longtemps, cela fait perdre notre motivation de surmonter les difficultés. Nous aimons trop le mot : protéger,dés que les patrons subissent les attaques, ils demandent d’abord à l’État de les sauver au lieu de améliorer leur propre compétitivité d’inventer et du Marketing, surtout le dernier.
En même temps, le gouvernement semble devoir consoler les patrons, du coup, les mesures comme l’augmentation de la TVA sociale, parce que c’est la mesure la plus facile. Surtout pendant l’ élection présidentielle, les patrons en profiteront tout de suite, on a déjà vu le même cas en 2007.
Même au point de vue économique, cela ne fait pas beaucoup de différence avec le passé, depuis 2007 le coût des entreprises françaises est déjà baissé, surtout pour les grands patrons grâce au Président sortant, mais c’est nul. Pourquoi ? Parce qu’aucune politique financière peut sauver un système démodé qui est le fond de la dépression, alors les mesures qui doivent être efficace au cas normal ne fonctionnent qu’à court terme. Mais les autres acteurs contre cette mesure ne voient que de porte-monnaie à la main. Ils semblent tous éviter le vrai défi que l’on doit relever d’urgence.
Le nouveau monde existe, peu importe si les électeurs français veulent le voir ou pas.
Le monde a changé, change et changera, mais nous ne l'avons pas encore compris. L’ancien modèle économique français est en train d’enterrer nos talents et notre futur, mais nous ne voulons pas accepter cette réalité. C’est facile de pleurer d’être une victime de la mondialisation, mais c’est difficile de réinventer le modèle de la croissance économique pour être champion du monde, en particulière de laisser notre gloire antérieure dernière nous et mettre nos yeux en avance à travers tous les horizons. L’État doit établir un projet à long terme sur 10 ans, 20 ans et plus, pour le vrai redressement de la France de la forme au fond.
J’ai l’intention de laisser deux autres questions aux candidats:
1. D’une part, on est fier de la meilleure qualité de nos produits français, d’autre part, on a peur tout le temps d’être en lice sur le marché mondial hors de l’UE. Ce n’est pas ridicule ?
2. Pour l’instant, est-ce que le marché français et européen a assez capacité de nous redonner une nouvelle croissance ?